Zeth Opriak [Admin & Créateur de la V2]

Nom :
Opriak

Prénom :
Zeth

Age :
17 ans

Race :
Sheikah

Groupe désiré :
Aventurier

Equipement de départ :
Deux épées longues et fines, arc + carquois

Description Physique :
Zeth a le physique type d’un beau gosse, de beaux yeux bleus virant vers le gris et qui foncent avec le reflet de la lune. Des cheveux blonds allant plus vers le brun clair, ceux-ci mal coiffé pour se faire un genre. Et bien sûr, la tête d’une taille raisonnable et attirante. Pour montrer son style b bien appart, Zeth met toujours un bandeau autour de son front, pour faire combattant. Il a aussi des bandages autour des mains, mais ce n’est pas pour frimer, car à force de s’entraîner, Zeth se blesse souvent les mains, donc il se protège. Il a un style vestimentaire assez unique puisque c’est le seul à porter des vêtements pareils ; tee-shirt noir et veste dont les manches sont coupées de couleur rouge foncé. Il a un pantalon noir assez long qui cache ses pieds et en parlant d’eux, il ne met presque jamais de chaussure, car il a pris l’habitude de rester pieds nus.

Caractère :
Tout comme son physique, Zeth a un caractère assez spécial et qui lui est propre. Je vous explique : bien qu’il soit un très bon combattant, il ne le dira jamais et ne se battra jamais pour le plaisir sauf s’il est énervé. Le problème c’est ça, quand il est énervé, il devient très étrange, il abandonne son caractère affectueux et amical, où il aiderait sans rien demander en retour et il aura un caractère assez détestable. En effet, quand Zeth est énervé (cela peut durer assez longtemps, voire plusieurs jours) il devient odieux, insolent et affrontera toutes créatures ou simples personnes qu’il croisera. Il est comme quelqu’un d’autre, c’est pour ça que certains disent qu’il est schizophrène, mais refusant de l’admettre, Zeth ne se doute pas qu’il l’est réellement, sa double personnalité lui a souvent fait défaut, mais s’est quelques fois avérée assez utile. Sinon, il est très calme, posé, mais s’énerve quand même assez vite. Il est très serviable et ne supporte pas l’injustice qui lui fait rentrer dans une colère noire.

Histoire :
C’était un beau matin de printemps ; les arbres étaient en fleurs, l’atmosphère sombre et froide de l’hiver s’était dissipée pour laisser place à une atmosphère douce et réchauffante. Il est sept heures et quarante-huit minutes lorsqu’un jeune couple de fermiers, qui faisaient leur balade quotidienne, passèrent devant un fin ruisseau qui semblait venir de la Rivière Zora. Comme chaque jour, ils s’arrêtaient là pour se reposer quelques minutes et profiter du soleil qui commençait alors à se lever. Au moment même où ils allaient repartir, ils entendirent des cris. Mais pas des cris d’animaux, non, des cris d’homme et peut-être même, qui sait, des cris d’enfant, car le son était plutôt aigu pour être celui d’un adulte. Intrigué, l’homme s’approcha, le pas hésitant, de l’endroit d’où les cris provenaient. Il arriva près d’un rocher, à première vue, il n’y avait rien de suspect, mais les cris continuaient et il semblait tourmenté, il tourna pour voir l’autre côté du rocher. Il était à présent à la source des cris. Il se frotta les yeux, se pinça plusieurs fois, mais non, il ne rêvait pas. Il avait en face des yeux, un bébé, un petit bébé tout pâle qui semblait malade. Il mit quelques minutes avant de réagir, il était tellement surpris qu’il n’avait même pas entendu sa femme qui avait crié plusieurs fois :

« Qu’est-ce que c’est ?? Qu’est-ce que tu vois ? ».

Le fermier secoua sa tête, tourna celle-ci vers son épouse et dit :

« C’est… c’est un bébé… »

La fermière se précipita vers son mari, contempla le bébé et le prit dans ses bras sans plus attendre. Elle fixa son mari, le regard interrogateur :

« Que faisons-nous maintenant ? ».

Il ne répondit pas… Elle prit donc toute seule la décision de garder le bébé, qui, visiblement, avait été abandonné.
Elle examina le bébé dans ses moindres détails ainsi que le drap dans lequel il était enroulé. En contemplant le drap, elle remarqua un symbole représentant un œil, trois triangles et une larme. L’homme qui avait remarqué le signe se décida enfin à parler :

« Ce n’est pas la marque du peuple de l’Ombre ça, enfin, je veux dire, des Sheikah ? » …

Quelques mois plus tard… dans la ferme du couple…

« Alors, tu penses réellement que c’est… que c’est un Sheikah ? » questionna la femme.

« Écoute Meila, je ne pense pas… j’en suis sûr, sinon, que ferait-il enroulé dans ce drap ? »

« Oui… tu n’as pas tors Gwen, mais je doute quand même… »

« De toute façon, on ne lui dira rien, au fait, tu as trouvé un prénom, ça fait quand même trois mois… »

« Je pensais à Zeth, c’était le prénom de mon père défunt et je ne l’ai pas beaucoup connu, donc, ce serait un moyen de lui rendre hommage »

« D’accord, ça me va, c’est bien »

La conversation entre le couple venait à peine de se terminer que le bébé se mit à pleurer. Aussitôt, la ‘mère’ s’empressa d’aller le border pour qu’il cesse ses pleurs. Elle l’aimait beaucoup et le considérait comme son vrai fils, ce qui n’était pas réellement le cas du ‘père’, celui-ci semblait dérangé par la venue de ce petit garçon.

Les années passèrent…

Actuellement âgé de cinq ans, Zeth était très heureux, car sa mère s’occupait très bien de lui. La seule ombre au tableau c’était que le père ne semblait pas aimer Zeth.
Un jour, le jeune enfant surprit ses deux parents en train de parler, très tard le soir.

« Pourquoi te comportes-tu comme ça avec lui ? »

« Quoi, comment ça ? Je me comporte correctement »

« Tu parles, quand il était bébé tu ne te levais même pas quand il pleurait, tu le niais, et c’est encore pire maintenant... »

« Peut-être, mais toi, tu l’aimes tellement que tu n’aurais même pas aimé autant tes vrais enfants…. »

« Ce n’est pas vrai ! Le fait qu’on l’ait trouvé près du ruisseau ne veut||

Zeth, caché très discrètement derrière la porte entre-ouverte venait de trébucher, ce qui alerta ses parents de sa présence, ce qui coupa immédiatement leur conversation. Zeth était jeune, mais très intelligent, et il avait tout compris. Il se mit à courir et sortit de la maison. Sa mère le rattrapa très et prit l’enfant en pleurs dans ses bras. Il y avait un silence glacial, personne n’osait le rompre. Peu de temps après, les parents de Zeth l’envoyèrent au Village Cocorico, chez un ami de la famille pour que Zeth puisse se changer les idées, car après la découverte, son caractère avait quelque peu changé, c’est à partir de ce jour qu’il est devenu schizophrène.

10 ans passèrent…

Durant ces dix années, Zeth était tout le temps resté chez l’ami de son père. Celui-ci était un maître d’arme, il savait se battre à l’épée, tirer à l’arc, manier des bombes, … Comme Zeth avait beaucoup de temps libre, il s’était entraîné d’arrache-pied durant dix ans. A présent, à l’âge de 15 ans, il maniait parfaitement les épées et visait avec un précision incroyable avec son arc.
Il ne voyait pas souvent ses parents, mais cela ne le dérangeait pas, car il avait trouvé beaucoup plus qu’un ami dans la personne de Pey, son tuteur et entraîneur.

2 ans plus tard…

Âgé de 17 ans, Zeth pensait à une seule chose, voyager et découvrir
Il voulait parcourir Hyrule. C’est au début du printemps qu’il prit ses armes, deux longues et fines épées métalliques très résistantes ainsi qu’un arc à flèche et un carquois rempli. Ainsi, devenu un combattant hors pair, Zeth partit de chez lui pour découvrir le monde.


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